MES CHERS ENFANTS
Souvenirs
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VOL2 -Osny, village d’enfance de mes enfants de 1970 à 1987 (Souvenirs, Alexis Rosoff)
Table des matières
1965 – 1970 le village de mon enfance est devenu « le village d’enfance de mes enfants »
1970 Saint Michel sur Orge, naissance de Marina
1971 et 1972, Osny, vacances d’hiver à Monetier, Créances
1973, Osny, et vacances dans le Jura
1974, Osny, ski à Monetier, Créances, école Jeanne d’Arc, vacances au Portugal
1975, Vacances au Portugal, Osny, école Jeanne d’Arc
1976, Ski à Monetier, Osny, école Jeanne d’Arc, Créances
1977, Osny, île de Ré, Créances, école Jeanne d’Arc
1978, Ski à Monetier, Osny, Créances, école Jeanne d’Arc, vacances au Portugal
1979, Ski à Serre Chevalier, école Jeanne d’Arc, vacances à Frontignan
1980, Avec l’achat Ézanville, c’en était fini des week-ends et des vacances à Osny.
1981, Ézanville, mariage de Thierry à Créances, Serre Chevalier
1982, Ézanville, Communion Solennelle de Marina
1984 Ézanville, Créances, Monetier
Volume 2 -Osny, village d’enfance de mes enfants, de 1970 à 1987 (Souvenirs, Alexis Rosoff)
A mes enfants et petits-enfants…
Je suis né le 13 juillet 1937 et j’ai aujourd’hui 84 ans. Mon état de santé m’a obligé de quitter mon appartement d de Maisons-Alfort pour un studio dans une « Résidence Senior » à Chatou, près la maison de mon fils. Pour moi le nom d’une ville nouvelle près de Pontoise, « Osny », est synonyme de « village de mon enfance » car j’y ai vécu toutes les années entières jusqu’à l’âge de 10-12 ans et au moins 2 à 3 mois par an jusqu’à l’âge de 18 ans, au 133 (maintenant 34), Avenue de la Muette. Plus tard j’y suis revenu très souvent jusqu’à la reconstruction de la maison en 1970. Alors naquit ma fille Marina, la maison de mon enfance devint la maison d’enfance de mes enfants et Osny devint pour moi « le village d’enfance de mes enfants ».(voir Vol 1 -Osny, village de mon enfance (Souvenirs, Alexis Rosoff))
1965 – 1970 le village de mon enfance est devenu « le village d’enfance de mes enfants »
Au retour des États-Unis je m’installais dans un studio de la tour Maine Montparnasse. J’y ai vécu en célibataire jusqu’à fin 1967. Ensuite on s’est mis en couple avec Bernadette, et dans les années 67 et 68 on passait à Osny presque tous les week-ends et une bonne partie de l’été, pour la reconstruction de la maison de mon enfance. En été 1969 Bernadette fut enceinte et on se maria en décembre 69.
En 1970 je fus muté au laboratoire de Marcoussis et on habita dans un appartement à Saint Michel sur Orge. Le 15 avril 1970 naquit Marina, et en 1971 on s’installa dans la maison reconstruite à Osny. À partir de ce moment la maison ne fut plus la « maison de mon enfance » mais devint « la maison d’enfance de mes enfants »
En 1972 j’ai quitté la CGE pour aller travailler comme chef de service de la propriété industrielle et des licences à la Compagnie des Compteurs à Montrouge et moins on alla déménager à Montrouge.
En 1976 j’ai quitté la compagnie des compteurs pour aller travailler à Saint Denis à la société SEMT PIELSTICK. C’était une société qui appartenait au groupe Alstom Atlantique et qui vendait dans la plupart des pays industrialisés licences de fabrication de moteur diesel (il s’agit de gros moteurs diesel pour les centrales ou les navires ou encore les locomotives) qui étaient fabriqués aux Chantiers de l’Atlantique à Saint-Nazaire. De 1976 à 1980 , tous les jours je prenais l’autobus pour aller à la porte d’Orléans, puis le métro jusqu’à la Gare du Nord et enfin les trains pour aller à Saint-Denis. C’était très fatigant et en 1980 nous avons acheté le pavillon à Ézanville, en partie avec l’argent de la vente de la maison à Osny.
C’en était fini des week-ends et des vacances à Osny.
Je n’ai plus de photographies ni de films à partir de janvier 87, car au cours d’un voyage professionnel en Russie, on m’a volé la caméra VHS.
Peu après le décès de Diéda (mon père) en 1995, Bernadette et moi étaient séparés, et j’avais quitté la maison d’Ézanville pour habiter à Paris, et après, en 2000, à Maisons-Alfort.
Les photos qui sont Insérées dans cet album sont de qualité très médiocre, mais elles ont un grand mérite qui est d’être uniques. Pour la très grande majorité ce sont des photos repiquées à partir de films numériques et elles n’ont jamais été vu par Boris ou Marina et elles n’existent pas sur papier sauf pour quelques-unes qui sont dans les albums possédés par Bernadette à Ézanville.
Pour expliquer pourquoi, pour l’enfance et la jeunesse de Marina et Boris, je n’ai pas de photos scannées à partir de tirages papier, je suis obligé de décrire un peu les techniques utilisées pour réaliser ces photos.
De 1970 à 1990, les ordinateurs n’existaient pas, ou je n’en disposais pas, pas plus que les scanners : à cette époque je ne disposais que de deux outils :
- Une caméra super huit,
- Ensuite une caméra VHS.
Pour créer les photos de cet album j’ai été obligé de procéder comme suit :
- J’ai commencé en projetant des films super 8 sur un mur,
- Ensuite j’ai photographié ces projections avec la caméra VHS,
- Puis j’ai photographié les photos qui existaient sur papier avec la caméra VHS
- La caméra VHS me permit enfin de rassembler les divers clips pour créer des films VHS.
Beaucoup plus tard, lorsque j’ai eu un ordinateur, je me suis procuré un appareil et un logiciel qui me permit de numériser les films VHS et créer ainsi des films en format MPG puis MP4, à partir desquels j’ai repiqué les photos qui sont dans cet album.
Voilà pourquoi je dis que les photos de cet album sont uniques : ni Marina ni Boris n’ont jamais vu ces photos-là qui n’ont jamais été imprimées et les scènes en question ne leur ont été jamais montrées sauf en regardant les films.
Je pense donc, que malgré la mauvaise qualité des photos de cet album, Boris et Marina seront intéressés par cet album parce qu’ils y trouveront de quoi revivre certaines années de leur jeunesse.
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